Comment j’ai retrouvé Livingstone

Stanley
jeudi 21 février 2002
par mathieu
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7/10

1869, dans de nombreuses régions d’Afrique (centre Est, entre Zanzibar et le Tanganika), l’homme blanc provoque une grande curiosité chez les « naturels ».
Et ce fait s’accentue lorsqu’il pénètre plus profondément dans les terres.

Stanley ne méprise pas les « naturels », comme il les nomme. Il est souvent sensible a la beauté des paysages africains.

On peut noter le formidable déploiement de moyens occasionné par le voyage de Stanley. Pour progresser en Afrique de l’Est, il doit emporter d’importantes quantités d’étoffes et de perles de couleur qui sera utilisé comme monnaie d’échange (cf droit de passage), ainsi que du matériel et de la nourriture. Soit de nombreuses mules et... 700 porteurs !

De nombreuses références aux récits des expéditions de Burton et Speke (toutes les connaissance occidentales de cette partie de l’Afrique à l’époque).

Le personnage de Livingstone est vu comme réellement positif.